Biographie

Anthony D Green est né en 1973 à Welwyn Garden City/UK. Il vit et travaille dans le Kent/UK.

Entre peinture et bas-relief, les œuvres récentes d’Anthony D. Green témoignent de la fascination de l’artiste pour les images, leur place centrale dans la société de consommation et leurs potentiels de transformation. Détournant les codes de la photographie publicitaire et de l’infographie, il impose une distance avec les sujets, ici issus de banques d’image commerciales. Réalisées en MDF, peinture en aérosol, peinture acrylique, papiers imprimés et assemblés, elles jouent avec les volumes et les points de vue, et perturbent le regard par des jeux formels (décalage, répétition, etc.). En relief sur les œuvres d’Anthony D. Green, les oreilles apparaissent comme une voie de sortie à l’emprise exercée par le régime visuel. Bas-reliefs naturels, ce sont des points de rencontre entre des phénomènes invisibles et une intériorité dissimulée. Elles se présentent alors comme autant de points d’accès à un univers au delà du visible.

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Née en France, Caroline Achaintre a grandi en Allemagne et vit en Grande-Bretagne. Après avoir étudié à la Kunsthochschule de Halle puis au Chelsea College of Art and Design, elle est diplômée de la Goldsmiths University à Londres. L’artiste est elle-même nourrie de références culturelles multiples et radicalement différentes qui influencent sa démarche. Sculptures en laine, en céramique ou encore aquarelles, l’artiste s’approprie l’espace afin d’y installer ses créatures hybrides, transformant le lieu d’exposition en un théâtre où dialoguent différents personnages mi-fantastiques, mi-fantomatiques. Inspiré tout à la fois par le carnaval européen, le Primitivisme, l’Expressionnisme allemand ou encore la science-fiction, le travail de Caroline Achaintre évoque d’une part la possible coexistence de plusieurs personnages au sein d’un même être et d’autre part les tensions que génère la dualité. Aucune indication précise n’est donnée quant à la façon d’aborder son travail. On y voit tour à tour un masque, un vêtement, un animal… Ses œuvres ont la particularité d’être difficiles à définir. Abstraites et figuratives à la fois, elles révèlent des formes anthropomorphiques et témoignent d’un intérêt particulier pour l’animisme. La mutation des formes et la pluralité des interprétations possibles engagent l’esprit et la fantaisie du regardeur. C’est là la force du travail de Caroline Achaintre : questionner notre propre capacité d’être au monde en tant qu’individu défini par une identité complexe et multiple.

Ses œuvres font partie de plusieurs collections publiques : CAPC, Bordeaux/FR; Tate Britain, Londres; Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris; Centre national des arts plastiques, Paris; FRAC Aquitaine, Bordeaux, et FRAC Champagne-Ardenne, Reims.

De nombreuses expositions personnelles lui ont été consacrées : Visual, Carlow/IR, Museum Lothar Fischer, Neumarkt in der Oberpfalz/DE, Neues Museum, Nürnberg/DE (2023); Kunstmuseum Ravensburg/Centre d’art Pasquart/CH (2021-2022), CAPC, Bordeaux/FR (2020-2021), MO.CO., Montpellier/FR (2019); Belvedere 21, Visual, Carlow/IR, Museum Lothar Fischer, Neumarkt in der Oberpfalz/DE, Neues Museum, Nürnberg/DE (2023); Centre d’art Pasquart/CH (2022); Kunstmuseum Ravensburg/DE (2021); CAPC, Bordeaux/FR (2020), MO.CO., Montpellier/FR (2019); Belvedere 21, Vienna/AU (2019); De La Warr Pavilion, Bexhill-on-sea/UK (2018); FRAC Champagne-Ardenne, Reims/FR (2017); BALTIC, Centre for Contemporary Art, Gateshead/UK (2016); Tate Britain, London/UK (2015); Castello di Rivoli, Turin/IT (2013).

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Hubert Duprat est né en 1957 à Nérac dans le Lot-et-Garonne, il vit et travaille dans le sud de la France.

Riche, exigeante et complexe, l’œuvre d’Hubert Duprat s’enrichit aussi du hasard et de l’empirisme. Inspirée par la découverte d’objets, de vestiges ou de textes, elle conjugue une mise à l’épreuve des matières, des techniques et des gestes. L’artiste puise indifféremment dans la nature ou dans la manufacture des étrangetés minérales (pyrite, calcite, ulexite..), des espèces inclassables (ambre, corail..) ou des matériaux industriels courants (polystyrène, béton, paraffine, pâte à modeler…). Les procédés, déplacés de leur domaine d’origine, proviennent en grande partie de l’artisanat comme la marqueterie, l’orfèvrerie, la tapisserie d’ameublement, mais également des arts populaires à l’exemple du string art.*

Le travail de Duprat est visible dans les collections suivantes : Museum of Old and New Art (MONA), Tasmanie/AU; Fondation Cartier, Paris /FR; Musée d’Art moderne de la Ville de Paris/FR ; Fond National d’Art Contemporain, Paris; Nouveau Musée National de Monaco, Monaco/FR ; Collection Musée des Arts Contemporains de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Grand-Hornu/BE ; Musée d’Art Contemporain de Lyon/FR ; et dans de nombreuses collections des Fonds régionaux d’art contemporain (FRAC) en France.

Une rétrospective de son œuvre est présentée au Musée d’Art moderne de Paris jusqu’en 2021. De nombreuses expositions personnelles lui ont été consacrées notamment au Museum of Old and New Art (MONA), Tasmanie/AU (2013) ; Norwich Museum, Norwich, UK (2011); MAMCO, Genève/CH (1999) ; Musée Picasso, Antibes (1998).

*Lire le communiqué de presse de l’exposition « Hubert Duprat » au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, écrit par Jessica Castex, 2020

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Jean-Michel Sanejouand (1934-2021) est né à Lyon et vivait et travaillait à Anjou.

Issue de la scène artistique des années 60, l’œuvre de Jean-Michel Sanejouand reste inclassable. Elle surprend par sa radicalité, sa remise en cause formelle permanente. Loin d’être le simple résultat de l’expression d’une liberté formelle, l’œuvre de Jean-Michel Sanejouand nourrie de nombreuses ruptures, a été saluée par de nombreuses institutions françaises et étrangères dont le Centre Georges Pompidou en 1995.

Son travail se trouve dans de nombreuses collections publiques telles que le Musée national d’art moderne/Centre Pompidou, le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, le Musée d’Art Contemporain de Lyon et Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut.

Plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées depuis les années 60 dont: Charges-Objets, MAMCO, Geneva (2015); Un peu d’espace(s) at Art : Concept, Paris in (2015); Rétrospectivement…, Frac Pays de la Loire, Carquefou/FR (2012); 1963-1995 rétrospective, Centre Pompidou, Paris/FR (1995); Rétrospective des Charges-Objets aux Espaces-Peintures, Palais des Beaux-Arts, Lyon/FR (1986).

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Né en 1990, Pierre Bellot vit et travaille à Paris.

« Le travail de Pierre Bellot s’articule autour de questions centrales de mise en scène et de construction de l’image. Dans ses peintures, il organise ses sujets – issus de sources photographiques diverses ou d’archives personnelles – pour créer des fictions dont la composition obéit à des règles propres et vient créer un sens nouveau. En débarrassant chaque élément de sa fonctionnalité originelle, s’établit alors un jeu formel où l’important devient le chemin qui traverse l’œuvre et associe chaque partie au tout. L’image apparaît ainsi comme le réceptacle de visions intérieures. Le sujet est un appât, le point de départ d’une structure artificielle dans lequel l’artiste vient piéger la réalité du motif de départ. »

Texte de Cécile Debray
Directrice du musée de l’Orangerie
Viva Villa, Édition 2020, « Les vies minuscules »

Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris avec les félicitations du jury. Son travail a notamment été exposé à Avignon (Collection Lambert), à Paris (Bastille Design Center, Palais des Beaux-Arts, La Villette, Progress Gallery…) à New York (56 Henry) et à Berlin (Galerie Noah Klink). En 2019-2020, il a été membre de l’Académie de France à Madrid, à la Casa de Velázquez.

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Vidéo de présentation (Casa de Vélazquez, 2020)

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Nina Childress, née en 1961 à Pasadena (Californie, Etats-Unis) a grandi à Paris, où elle vit et travaille aujourd’hui.

Issue de la scène punk alternative parisienne puis du collectif les Frères Ripoulin, Nina Childress n’a cessé de peindre depuis 1983. Son travail gagne en visibilité en 2009 lorsque Christian Bernard lui propose une retrospective au Musée d’Art moderne et contemporain de Genève (MAMCO) où il occupe le poste de directeur, suivie d’une autre exposition personnelle deux ans plus tard. 

Après son Master en arts plastiques, Nina Childress poursuit ses recherches en peignant simultanément dans des styles différents. Offrant une revisite grinçante de l’histoire du portrait dans la culture populaire occidentale, sa peinture capte de plus en plus les clichés de représentations féminines. Pour certains tableaux, elle réalise plusieurs versions, entre perfectionnisme et caricature, entre good et bad painting, questionnant la notion de « bon goût ». En 2019-2020, Nina Childress commence à peindre avec des pigments phosphorescents. Aujourd’hui, ses sujets se centrent davantage sur des portraits d’idoles féminines glamour du cinéma et de la chanson populaire, comme Sylvie Vartan, Kate Bush ou encore Hedy Lamarr. En 2020, Hedy Lamarr est également le modèle de sa première statue en bronze, réalisée grâce à la bourse de la Fondation des Artistes.

Récemment, son travail a été montré dans de nombreuses institutions le Musée National d’Art Moderne – Centre Pompidou, Paris et le Centre Pompidou Metz (2023/2024); le FRAC Ile-de-France, Romainville (2023); La Cinémathèque française, Paris et le MAC VAL, Vitry-sur-Seine (2022); MAMCO, Genève (2021); le Musée d’Art Moderne de Paris (2020). Une exposition personnelle d’ampleur lui a été consacrée à La-Chaux-de-Fond (Suisse) en 2022. En 2021, Nina Childress est nommée Chevalier de la Légion d’Honneur pour son parcours au service de la culture. Une grande rétrospective lui a été dédiée au FRAC Nouvelle-Aquitaine MÉCA, Bordeaux, en décembre 2021. À cette occasion, son catalogue raisonné, depuis son premier tableau peint en 1980 jusqu’à ceux de 2020, est publié accompagné d’une autobiographie écrite par Fabienne Radi. Depuis 2019, elle est cheffe d’atelier à l’École des Beaux-Arts de Paris.

Son travail est représentée par la galerie Nathalie Karg à New York et par la Galerie Art : Concept à Paris depuis 2022.

Ses œuvres figurent dans les collections du Musée National d’Art Moderne à Paris, du MAMCO à Genève, du Mac-Val à Vitry-sur-Seine, du Fond municipal d’art contemporain de la ville de Paris et de nombreux Frac.

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Kate Newby est née à Auckland, Aotearoa (Nouvelle-Zélande) en 1979 et travaille aux États-Unis où elle réside. En 2015, elle a obtenu le doctorat conferé par l’École des beaux-arts Elam à l’université d’Auckland.

Travaillant avec une variété de supports dont l’installation, le textile, la céramique, la fonte et le verre, Kate Newby est une sculptrice qui s’attache à explorer la nature même de la sculpture et à en repousser les limites. Si la main occupe un rôle très important dans son travail, ce n’est pas seulement romantique ni même rétrograde, mais plutôt le dérivé esthétique d’une position qui embrasse sans honte l’expérience directe plutôt que l’expérience médiatisée.

Son travail a été montré à la 21e Biennale de Sydney en 2018, ainsi que dans différentes institutions et galeries à travers le monde : à la Fondation Hermès et Mori Art Museum à Tokyo au Japon (2023/2024), au Blaffer Art Museum à Houston, Texas aux Etats-Unis (2023), au Te Papa Tongarewa, Museum of New Zealand, à Wellington en Nouvelle-Zélande et au Palais de Tokyo à Paris (2022); au Musée de Rochechouart, (2021); à l’Institut d’Art contemporain de Villeurbane (2019); à Lumber room, Portland, OR (2019); à la Kunsthalle de Vienne (2018), à la Kunsthaus Hamburg, (2018); à Index, Contemporary Swedish Art Foundation (2017) et au SculptureCenter, NY (2017).

Kate a effectué des residences à : The Joan Mitchell Foundation (2019), The Chinati Foundation (2017), Artpace (2017), Fogo Island (2013), et the International Studio & Curatorial Program ISCP (2012).

Elle a gagné en 2012 le Walters Prize, le plus grand prix d’art contemporain néo-zélandais et le prix Ettore Fico (Turin, IT) en 2022.

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Tania Pérez Córdova (née en 1979) est une artiste mexicaine née à Mexico où elle vit et travaille. Après avoir étudié à l’école des beaux-arts de Mexico, elle a obtenu une licence en beaux-arts au Goldsmiths College de Londres.

L’œuvre de Tania Pérez Córdova se développe à travers une grande variété de médiums, à savoir la sculpture, les objets trouvés et l’installation, mais aussi la photographie et la performance grâce auxquels elle explore les relations contextuelles qui se tissent entre les objets du quotidien. Les éléments visuels qu’elle nous présente sont en effet à comprendre dans le contexte d’une narration plus large dont les titres donnent les clés – l’artiste aime d’ailleurs parler de « situations » pour désigner ses œuvres.

« L’œuvre de Tania Pérez Córdova se révèle par strates de différentes technologies, époques et matériaux – poudre à canon, cendres de cigarette, maquillage, mousse, bronze versé dans du sable, bijoux – pour présenter de poétiques clichés d’une narration passée ou qui peut encore advenir. Ses sculptures élégantes sont des questions qui flottent dans l’air, un sentiment inarticulé.

Dans ses créations intimes, les vestiges de la présence humaine peuvent être décelés là où de nouvelles fonctions sont données aux objets ; un médaillon en cannettes de bière fondues piégé entre une fenêtre en verre recyclée, un moulage en bronze de la poche de quelqu’un, une lentille de contact colorée sur du marbre. Elle active souvent ses sculptures à travers un jeu performatif, comme par exemple par la présence d’une personne dans la galerie portant la lentille de contact ou la boucle d’oreille dont le double fait partie de l’une des sculptures. »*

*Texte d’Elizabeth Fullerton

Son travail a été présenté dans des expositions personnelles au Sculpture Center de New York (2023) au Museo Tamayo de Mexico (2022-2023), à la Kunsthalle de Bâle (2018) et au Musée d’art contemporain de Chicago (2017) et prochainement au Sculpture Center de New York (2024). Il fait partie d’importantes collections publiques telles que celles des Museum of Contemporary Art Chicago/US, Tamayo Museum/MEX, Jumex Collection/MEX, San Francisco Moma/US, Cisneros Collection/US-VEN, Museo Amparo/MEX, Adrastus collection/ESP.

‘All our explanations’ présentée chez Art : Concept en janvier 2022 est sa première exposition personnelle en France.

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Né en 1968 à Londres, Andrew Lewis vit et travaille à Argenton-sur-Creuse.

L’artiste développe cette idée de l’interaction entre les personnages aussi bien humains que sculptés et leur environnement immédiat créant ainsi une dynamique de groupe. Ses œuvres montrent les innovations et l’ingéniosité que nous avons mises en place pour nous adapter et croître au sein de notre société, qui de fait s’est mise à fonctionner comme un organisme abolissant les privilèges, cassant les codes qu’elle avait aimé créer peu de temps auparavant. Andrew Lewis tente de réaliser une synthèse originale : transposer en peinture des personnages calmes et hiératiques interagissant avec le temps, qui, lui, passe, bouge, évolue. Ses personnages rappellent ceux de Robert Musil, ces hommes et ces femmes sans « qualités » évidentes, qui, débarrassés des scories de leur milieu et de leur époque deviennent réceptifs aux expérimentations et agissent comme une sorte de polyconscience transhistorique.

Son travail est présent dans les collections suivantes : Arts Council Collection, Londres ; Stedelijk Museum, Amsterdam ; FRAC Alsace, Sélestat ; FRAC Limousin, Limoges. Expositions : Vers une boîte éclairée / Crystal Palace Transmissions, Art:Concept, Paris (2017) ; Les filtres harmoniques, Art:Concept (2012) ; Archi-Peinture, Le Plateau/Frac Ile-de-France, Paris & Camden Arts Center, Londres (2006).

Il a récemment participé aux expositions collectives suivantes: Varia, Abbaye Saint-André, Centre d’Art Contemporain, Meymac/FR; Monument, FRAC Alsace, Sélestat/FR.

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Biographie

Né en 1980 à Bordeaux, Alexandre Singh vit et travaille à Paris et à New York.

Récompensé en 2012 par le Prix Meurice pour l’art contemporain, il se distingue par un travail protéiforme qui évolue entre écriture, performance, collage, installation et sculpture. Ces différentes pratiques, loin d’être hermétiques, travaillent de concert pour mener vers une œuvre totale qui questionne la nature humaine, sa genèse, ses tares et ses multiples visages. Les références de l’artiste, tout aussi hétéroclites, donnent naissance à des personnages et récits hérités indistinctement de la culture populaire – l’univers publicitaire et télévisé –, du répertoire dramatique classique (Molière), comme de la comédie grecque antique (Aristophane). Cet assemblage d’images et de références évoque ses premiers travaux de collage, comme ses séries The Economist (2006) et Assembly Instructions (2008-2011) qui puisent autant leurs sources dans les Essais de Montaigne que dans les catalogues Ikea. En 2012, il signe sa première pièce de théâtre, The Humans, élaborée lors de sa résidence au Witte de With et présentée au Rotterdamse Schouwburg, à la Brooklyn Academy of Music de New York et au programme du festival d’Avignon en 2014.

Son travail est présent dans les institutions suivantes : le Centre national des arts plastiques (Paris), le FRAC des Pays de la Loire (Carquefou, France), le Solomon R. Guggenheim Museum ou encore The Museum of Modern Art à New York.

Plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées en Europe et aux États-Unis. En 2011 il présente son installation La Critique de l’école des objets au Palais de Tokyo (Paris) – montrée initialement au New Museum de New-York en 2010 – puis Assembly Instructions : The Pledge à la galerie Monitor (Rome) et chez Art : Concept (Paris), également montrée au Drawing Center (New-York) en 2013. Cette même année il propose The Humans chez Metro Pictures (New York), puis chez Sprüth Magers (Londres) en 2014. En 2019 il présente une exposition personnelle au Fine Arts Museums of San Francisco (Californie). Son travail a été également montré pendant la Whitney Biennial, la Bienniale de Lyon et Manifesta 8.

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