Veduta (Gainsborough), 2020
encre et huile sur bois
45,72 x 60,96 x 5,08 cmJane Fonda, 2020
Graphite sur papier Arches pressé à chaud
76,2 x 55,88 cmVue d’exposition, Reflections on the Anthropocene, Susanne Vielmetter Los Angeles Projects, 2020. The Good do Bad, 2017
encre et huile sur bois
71,12 x 93,98 x 3,81 cmThe Night Ahead, 2017
encre et huile sur bois
91,44 x 121,92 x 3,81 cmDiabolique, 2017
encre et huile sur bois
76,2 x 106,68 x 4,45 cm, collection privéeVue d’exposition, The Left Coast, Susanne Vielmetter Los Angeles Projects, 2017. Photo: Robert Wedemeyer. The Light Night, 2016
encre et huile sur bois,
91,44 x 157,48 cm,
Collection privéeThe Soft Day, 2016
encre et huile sur bois
91,44 x 157,48 cm, collection privée.Vue d’exposition,West of Eden, Susanne Vielmetter Los Angeles Projects, Los Angeles, 2015. Photo: Robert Wedemeyer. Book (Avery), 2012
encre et huile sur bois
45,72 x 55,88 cmBook (DeKooning), 2012
encre et huile sur bois
45,72 x 55,88 cmBroken Hand 09, 2009
encre et huile sur toile,
215 x 150 cmTesla (Blue/Yellow), 2008
encre et huile sur bois,
46 x 38 cmUntitled (Minha Luta Tropical), 2006
encre et huile sur bois,
56 x 66 cmUntitled (The Longest Time), 2006
encre et huile sur bois,
79 x 124 cmUntitled (Stolen/Faked : Munch : Madonna), 2006
encre sur bois
91 x 70,5 cm, collection privéeCast. 11, 2004
Technique mixte sur toile,
41 x 31 cm, collection privée Paris
Biographie
Née à Baltimore en 1976, Whitney Bedford vit et travaille à Los Angeles. C’est sa propre technique qu’elle utilise pour transmuer ses peintures dans le domaine de l’imaginaire. En couchant à la fois d’encre et de peinture à l’huile des scènes romantiques de destruction, de mer calme et d’oiseaux migrateurs, elle les manipule jusqu’au point d’abstraction, ne laissant voir que les vestiges de son dessin d’origine.
La manière de travailler de Whitney Bedford a changé dans ces nouveaux travaux. Dans les peintures passées, le dessin était utilisé pour créer une architecture du geste. Maintenant, bien que les peintures commencent techniquement par le dessin, un processus minutieux de masquage et de dé-masquage pousse la flore dessinée au premier plan et place le spectateur plus éloigné des scènes pastorales, derrière ou à l’extérieur de l’espace du dessin. La distance ainsi crée entre la peinture et le dessin souligne la recherche d’archives de l’artiste et la sélection rigoureuse d’images qui semblent appartenir à un monde perdu, voire en voie de disparition. Les nouveaux dessins font partie d’un exercice encyclopédique que l’artiste poursuit. Elle dessine quotidiennement une femme qui s’acharne, par solidarité afin de continuer à soutenir sans relâche les femmes qui défient le monde pour le rendre meilleur. Elle les considère comme des images votives, dont une partie des bénéfices ira en don à Emily’s List – qui aide à élire des candidates démocrates progressistes antiracistes.
Son œuvre est présente dans de nombreuses collections françaises et internationales, telles que : Eric Decelle, Bruxelles, Belgique ; Francois Pinault Collection, Paris, France; Ginette Moulin and Guillaume Houzé Contemporary Art Collection, Paris, France ; Hammer Museum, Hammer Contemporary Collection, Los Angeles, Amérique ; Jumex Collection, Mexico City, Mexique ; Rosa and Carlos de la Cruz, Miami, Amérique ; and The Saatchi Gallery, Londres, Royaume-Uni. Prix : UCLA Hammer Museum Drawing Biennal, Los Angeles (2001) ; Peggy Guggenheim Studentship, Venice (1997).
Ces dernières années, plusieurs expositions personnelles lui ont été consacrées, dont Vielmetter, Los Angeles (2020) ; Carrie Secrist Gallery, Chicago (2018) ; Saatchi Gallery, Londres (2018) ; Starkwhite, Auckland (2016) ; Taymour Grahne, New York (2015) ; Vielmetter, Los Angeles (2011), Houdini: Art and Magic, Jewish Museum, New York (2010).