Women’s day, 2020, graphite et crayon de couleur sur papier, 42 x 29,7 cm Pleasure Waves, 2020, graphite et crayon de couleur sur papier, 42 x 29,7 cm Océaniania, 2019, graphite et crayon de couleur sur papier, 155 x 113 cm Un doute intersidéral, 2019, graphite et crayon de couleur sur papier, 155 x 113 cm ONSEN I, 2019, graphite, crayon de couleur et aérographe sur papier, 185,5 x 145,3 cm Avocado Fantasy, 2019, pastels et crayons de couleur sur papier, 40 x 30 cm L’oiseau rare, 2019, pastels et crayons de couleur sur papier, 155 x 113 cm Doudou et Una, 2019,
pastels et crayons de couleur sur papier
40 x 30 cmCorn, 2018, céramique, engobe, émail, 80 x 40 x 38 cm Quatuor, 2018, graphite, crayon de couleur et aérographe sur papier, 105 x 74,8 cm Land O’rama, 2018, graphite, crayon de couleur et aérographe sur papier, 140 x 100 cm. Varuna, 2018, grès émaillé, engobe, 62 x 45 x 145 cm Un secret, 2018, graphite, crayon de couleur et aérographe sur papier, 100 x 75 cm, 108,6 x 77,6 cm encadré L’injustice, 2018, graphite sur papier, 40 x 30 cm. Acolyte 1, 2018, céramique, engobe, émail, 75 x 40 x 40 cm Acolyte 2, 2018, céramique, engobe, émail, 55 x 45 x 40 cm La Banque Centrale, 2018, graphite, crayon de couleur et aérographe sur papier, 105 x 74,8 cm Yeux de Vulves, 2018, émail, or, diamètre de 16 cm Sakanas, 2017, céramique émaillée, 50 x 30 x 25 cm, 47 x 32 x 26 cm Socle Cosmic Couple 2, 2017, graphite, pastel et crayon de couleur sur papier, 40 x 30 cm Yoga 1 et 2, 2016, céramique, engobe, 65 x 45 x 28 cm et 63 x 44 x 28 cm Corns, 2015, céramique émaillée, 42 x 20 x 22 cm et 47 x 21 x 21 cm La Traversée, 2014, graphite et aérographe sur papier, 40 x 30 cm Orgasme cosmique, 2011, graphite et crayon de couleur sur papier Anubis Fatigué, 2009, graphite sur papier, 80 x 142 cm The beginning of the end, 2009, graphite sur papier, 80 x 142 cm
Biographie
Né en 1980 à Metz (France), Corentin Grossmann vit et travaille à Bruxelles. L’univers de Corentin Grossman mélange diverses influences iconographiques, de la peinture médiévale aux arts populaires, des images de pochettes de disques, aux produits de la modélisation 3D. Jérôme Bosch au Brueghel l’Ancien ont marqué l’artiste, qui se plaît souvent à développer des compositions dans lesquelles s’agencent une multitude d’éléments à première vue disparates. Si la dimension surréaliste et onirique apparaît comme évidente, son travail est également ancré dans le réel, tissé de références à des faits d’actualité comme le séisme survenu à Haïti en 2011, ou plus généralement des phénomènes relatifs à la globalisation. *
« Si je me réfère à une réalité locale, partielle, minuscule, ou très courte c’est pour mieux l’inscrire dans les mouvements interdépendants, et infiniment complexes des innombrables éléments qui composent notre cosmos. L’ambiguïté de la démarche réside aussi dans cette pensée dont la tendance structurante est d’avance vouée à l’échec. Il peut être question, non sans humour, de la chose la plus légère et la plus grave à la fois. Les mettre en relation, sans aucune hiérarchie est une poésie qui me plaît. » – Corentin Grossmann
Son travail à été présenté par : Le Centre Pompidou, Metz (2020) ; le Palais de Tokyo, Paris (2019-2020) ; OSMOS, New York, commissaire Cay-Sophie Rabinowitz, (2019) ; Les Magasins Généraux, Pantin (2019) ; CAC – la synagogue de Delme/FR (2018) ; Le 19, CRAC, Montbéliard (2016) ; Consortium, Dijon (2012) ; Musée des Beaux-arts de Nancy (2010).
* Texte pris du catalogue Futures of Love, Édition Magasins généraux, Paris, 2019.