L’exposition Stammtisch du Collectif Le Salon et de ses sept artistes invité.e.x.s explore la symbolique complexe des espaces de rencontre traditionnels. Le projet comprend 15 publications, chacune offrant une interprétation personnelle du concept de Stammtisch (table des habitué.e.x.s) inspirée par diverses perspectives, toutes réunies autour d’une table.

Le projet Stammtisch s’étendra au-delà de son lancement lors des Journées photographiques de Bienne. À travers une série d’événements, il vise à stimuler un discours sur la communauté, la collaboration et l’identité collective à l’ère du numérique.

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Michel Blazy, 2010, Choses aquatiques vivantes. Crème dessert au chocolat, blanc d’oeufs, lait concentré sucré liquide, lait en poudre, crème dessert vanille sur contreplaqué grignoté à Caen par des souris / chocolate cream dessert, egg whites, liquid sweetened condensed milk, powdered milk, vanilla cream dessert on plywood nibbled by mice in Caen. 157 × 120 cm. Courtesy the Artist and Art : Concept, Paris. Collection privée, France.

Exposition collective.

Conçue à l’occasion des 10 ans de la Fondation Thalie, cette exposition trouve son origine dans la mise en œuvre depuis quatre ans de son programme Créateurs Urgence Climat. Il propose de faire se rencontrer, dans le cadre d’une exposition et d’un programme de rencontres, créateurice.s et expert.e.s issu.e.s de différentes disciplines, afin de mettre en commun et en perspective – en œuvre(s) – ces recherches transformatrices. En dialogue avec des œuvres de sa collection, la Fondation s’ouvre à cette occasion à un dispositif expérimental et prospectif, au croisement de l’art, du design et de l’écologie.

La Fondazione Nicola Trussardi embellit à nouveau les rues de Milan, cette fois avec des œuvres de soixante-dix artistes pour  » ITALIA 70 – I NUOVI MOSTRI « , sous la direction de Massimiliano Gioni, à partir du 8 avril 2024, à l’occasion de miart, la foire internationale d’art moderne et contemporain de Milan, et de la semaine de l’art et du design de la ville.

En 2004, le projet « I NUOVI MOSTRI (La vie est belle) » de la Fondation s’est répandu dans les rues de Milan, du centre-ville à la banlieue. Des milliers d’affiches créées par seize jeunes artistes italiens ont représenté une anthologie de visions de l’Italie et de son identité multiforme et ont investi les espaces publics de manière irrévérencieuse.

Avec Yuri Ancarani, Giulia Andreani, Giorgio Andreotta Calò, Meris Angioletti, Marina Apollonio, Stefano Arienti, Micol Assaël, Vanessa Beecroft, Marco Belfiore, Elisabetta Benassi, Ruth Beraha, Simone Berti, Tomaso Binga, Monica Bonvicini, Lupo Borgonovo, Chiara Camoni, Ambra Castagnetti, Guglielmo Castelli, Maurizio Cattelan, Giulia Cenci, Francesco Clemente, Danilo Correale, Roberto Cuoghi, Enrico David, Patrizio di Massimo, Binta Diaw, Sara Enrico, Chiara Enzo, Alessandra Ferrini, Linda Fregni Nagler, Giuseppe Gabellone, Elisa Giardina Papa, Piero Golia, Massimo Grimaldi, Petrit Halilaj, Adelita Husni Bey, Luisa Lambri, Armin Linke, Lorenza Longhi, Marcello Maloberti, Margherita Manzelli, Diego Marcon, Masbedo, Jacopo Miliani, Daniele Milvio, Alek O., Adrian Paci, Giulio Paolini, Giuseppe Penone, Diego Perrone, Alessandro Pessoli, Gabriele Picco, Paola Pivi, Maria Rapicavoli, Michele Rizzo, Pietro Roccasalva, Giangiacomo Rossetti, Andrea Salvino, Arcangelo Sassolino, Alessandro Sciarroni, Marinella Senatore, Elisa Sighicelli, Rudolf Stingel, Grazia Toderi, Patrick Tuttofuoco, Grazia Varisco, Nico Vascellari, Francesco Vezzoli, Sislej Xhafa, Shafei Xia.

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Pour sa deuxième exposition, La Gaya Scienza invite la commissaire et critique d’art Émilie Flory. Émilie Flory orchestre une exposition collective au sein de cette maison en remettant au centre l’idée de la force mutuelle par le partage des savoirs, des envies, des passions et des enthousiasmes. We Are Happy Here in A Happy House regroupe des artistes de différentes générations. Travail et vie se confondent, interfèrent l’un sur l’autre ; il est logique que les cercles de pensées, les amitiés, les amours y jouent un rôle central. Le bonheur d’un ami nous enchante. Il nous ajoute. Il n’ôte rien.

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Kate Newby, Wild Was the Night, 2019. Ensemble de 9 vitres. Verre, technique de fusing. Dimensions variables.

L’exposition est conçue comme un jalon du cycle de recherche « Vers un monde cosmomorphe » mené par le Laboratoire Espace Cerveau depuis 2016. L’exposition « Pratiques cosmomorphes » est proposée comme telle : un ensemble d’expériences et de pratiques qui, par leurs dimensions écologiques, humaines, sociales et pédagogiques, pourraient bien être les pierres fondatrices d’un post-anthropocène.

Dans ce cadre, deux ensemble d’œuvres en verre de Kate Newby sont présentés : Wild Was the Night, installation composée de 9 vitres en verre produite en 2019 pour l’exposition « Otium#4 » à l’IAC, ainsi qu’une nouvelle œuvre pensée pour le lieu et pour cet événement.

Ce printemps, le DAS MINSK Kunsthaus de Potsdam présentera l’exposition collective Soft Power, qui considère le design textile comme un moyen d’expression artistique pouvant être utilisé pour remettre en question les relations de pouvoir. L’exposition aborde divers aspects de l’art textile en trois chapitres.


Le chapitre « Mains invisibles » se concentre sur les conditions de production des textiles et de leurs matières premières, y compris l’histoire de la filature de coton de Leipzig-Lindenau, entre autres exemples. Il démontrera l’interrelation entre les conditions de production historiques et contemporaines, les relations commerciales et leurs implications écologiques durables. Le deuxième chapitre s’intitule « Disrupting Patterns ». Les motifs textiles sont souvent basés sur la répétition de structures graphiques, qui proviennent généralement de longues traditions et peuvent transmettre des informations sur les hiérarchies de pouvoir ou le statut. Les œuvres présentées dans ce chapitre de l’exposition remettent en question les modèles et les relations existants. Le chapitre « Fils ancestraux » retrace les lignes qui nous relient au passé. Tout comme les fils individuels peuvent se combiner pour former des tissus et des réseaux plus vastes, les œuvres historiques et contemporaines de ce chapitre font référence à des traditions passées qui continuent d’avoir un effet aujourd’hui.

Soft Power présente des œuvres de Magdalena Abakanowicz, Caroline Achaintre, Wilder Alison, Leonor Antunes, Ouassila Arras, Kevin Beasley, Mariana Chkonia, Edith Dekyndt, Gee’s Bend Quiltmakers (Ella Mae Irby, Candis Mosely Pettway, Quinnie Pettway), Philipp Gufler, William Kentridge, Maria Lai, Joanna Louca, Sandra Mujinga, Gulnur Mukazhanova, Ramona Schacht, Gabriele Stötzer, Johanna Unzueta, Hamid Zénati, et d’autres.

L’exposition sera organisée par Daniel Milnes, qui travaille comme conservateur à DAS MINSK depuis juin 2023. Milnes a grandi à Leeds, en Grande-Bretagne, et a étudié les langues modernes (allemand et russe) à Oxford et l’histoire de l’art à Fribourg et Saint-Pétersbourg. Après avoir effectué un stage au Kunstmuseum Stuttgart, il a fait partie de l’équipe de conservation de la Haus der Kunst à Munich, puis de la Hamburger Bahnhof – Nationalgalerie der Gegenwart à Berlin. En 2019, il a fait partie du collectif de commissaires qui a organisé la 12e Biennale de Kaunas.

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Exposition collective

« L’exposition « Wild Grass : Our Lives » a été conçu à la fin de l’année 2021 comme thème d’exposition pour la 8e Triennale de Yokohama. C’était une période où le monde sortait progressivement de la pandémie de COVID-19, redémarrant et se reconnectant. La préparation de la 8e Triennale de Yokohama s’inscrit dans ce contexte de reprise mondiale, avec l’ambition d’établir de nouvelles normes et de se distinguer parmi les quelque 250 biennales et triennales qui se tiennent aujourd’hui dans le monde. Cette initiative ambitieuse et courageuse est porteuse d’espoir. Cette lumière jaillit d’un contexte de dévastation, de désespoir et d’un profond sentiment de crise provoqué par la pandémie, le changement climatique, le virage généralisé vers le nationalisme conservateur et l’autoritarisme, la guerre russe en Ukraine, la montée des théories du complot dans la conscience populaire, et d’autres multitudes d’adversités. Nous avons été inspirés par la recherche d’un thème d’exposition qui parle d’humanisme humble, de courage, de résilience, de foi et de solidarité. »

— LIU Ding and Carol Yinghua LU
Artistic Directors
8th Yokohama Triennale

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Vue d’exposition / Installation view, Michel Blazy, Six Pieds sur terre. Une exposition pour les pieds, Le Portique, Le Havre, 2022. Photo © Le Portique, Le Havre
Photo by Rebecca Fanuele

Rassemblant près de 150 œuvres, l’exposition Artistes et paysans. Battre la campagne contextualise et met en évidence les points de rencontre entre art et agriculture, tout en explorant la manière dont ce dialogue a évolué dans un contexte de redéfinition des relations entre l’humain et son environnement.

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Ulla von Brandenburg, Sweet Feast, 2018. Film Super 16 mm (transferé sur vidéo HD), couleur, son,11 min 25 s. Edition of 5 plus II AP

Avec Sweet feast, Ulla von Brandenburg, l’invite en effet à vivre une expérience immersive, joyeuse, physique et mentale, autour des thèmes qui irriguent son œuvre : théâtre, tissus, scène, couleur, mouvement, rituels. Par son approche très organique, l’artiste imagine pour Le Parvis un projet total unissant l’espace d’exposition du centre d’art contemporain et celui du Hall qui guide les circulations publiques vers le théâtre et le cinéma attenants. 

Au centre d’art, deux environnements textiles d’envergure se font suite et accueillent trois films comme les cheminements des visiteurs, prouvant une fois de plus que le travail de l’espace et celui du corps ne sont, pour l’artiste, jamais séparés. Tandis que dans le Hall, un wall drawing monumental, renvoyant à l’esthétique ronde, pop et acidulée des « seventies », se déploie afin de célébrer le cinquantenaire du lieu. 
Ces deux espaces qui se répondent l’un et l’autre à travers un récit dichotomique, entre intérieur et extérieur, entre vide et plein, développent un langage « en boucle » renvoyant le visiteur à l’immanence de l’installation, au lieu qui l’accueille. Avec Sweet feast, Ulla von Brandenburg nous invite alors à prendre part à un véritable voyage initiatique dans la couleur et la matière, dans les espaces et les temporalités autres. 

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Kate Newby, ‘us, call us’, 2023/2024 et ‘always, always, always’ 2023/2024. Photo credits: Nacása & Partners Inc. / Courtesy of Fondation d’entreprise Hermès

La Fondation d’entreprise Hermès présente « Écologie : Dialogue sur les circulations », une série d’expositions en deux parties qui examine les pratiques écologiques dans l’art.

Après la première exposition de Jaeeun Choi, Dialogue 1 « La Vita Nuova », le deuxième volet, Dialogue 2 « Ancrage éphémère », se tiendra à partir du 16 février et présentera quatre artistes : Nicolas Floc’h, Kate Newby, Takeshi Yasura et Raphaël Zarka. L’exposition sera un dialogue explorant le potentiel de communication et le phénomène de circulation de l’énergie entre la nature et les humains dans le cadre de l’art contemporain.

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