Lothar Hempel, Plakat (1977), 2016, jet d’encre sur Dibond, acrylique, matériaux divers. 259 × 259 × 10 cm (102 × 102 × 3 ⅞ inches). Courtesy of the artist & Art : Concept, Paris
Kate Newby, Sans titre, 2022. Bricks installation at Palais de Tokyo. Courtesy of the artist and Art : Concept.

Kate Newby présente ses œuvres créées pour le Palais de Tokyo dans l’exposition collective ‘Réclamer la terre’.

Toutes les œuvres ont été créées pour l’occasion, au cours de résidences en France. Pour ses œuvres en briques, l’artiste a collaboré avec les établissements des Rairies-Montrieux.

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Miryam Haddad, Garde le regard sur ses égards, 2021. Huile sur toile. 200 × 425 cm (78 ¾ × 167 ⅜ inches). Courtesy of the artist and Art : Concept, Paris. Photo Romain Darnaud

Avec Jean Claracq, Cecilia Granara, Miryam Haddad, Nathanaëlle Herbelin, Simon Martin Madeleine Roger-Lacan, Christine Safa, Elene Shatberatshvili.

Commissariat Anaël Pigeat et Sophie Vigourous

Un groupe d’artistes qui se regardent et qui se parlent, c’est un phénomène de toujours. Ce qui nous a donné l’envie de réunir ces huit peintres, et de continuer une suite d’expositions initiée en 2019, c’est de nous interroger sur la manière dont les formes adviennent aujourd’hui, non seulement dans la solitude de l’atelier, mais aussi par les regards, par les mots ou par les affinités. Ils ont en commun une pratique de la peinture où les images ont leur place. Dans leurs toiles, ils assument leurs émotions et leurs plaisirs, leurs désirs et leurs revendications, portés par une humanité dépourvue de cynisme. Ce qui lie, c’est aussi la vie partagée, les relations organiques et fluides qu’ils entretiennent les uns avec les autres. Ils sont un portrait d’une génération

Ulla von Brandenburg signe la mise en scène, la scénographie et les costumes du troisième acte de ‘Die Walküre’ de Richard Wagner, présenté à l’Opéra de Stuttgart . 

La Première, prévue pour le 10 avril 2022, marque l’ouverture du troisième festival de printemps de la Staatsoper Stuttgart ; d’autres représentations de « Die Walküre » auront lieu les 18, 23, 29 avril et 2 mai 2022.

Avec le collectif de théâtre néerlandais Hotel Modern (1. Act) et le concepteur de lumière Urs Schönebaum (2. Act).

Lire l’article publié dans le Yew York Times (en anglais).

Tania Pérez Córdova, Images 4, 2017, collection SFMOMA; Shawn and Brook Byers Fund for Women Artists © Tania Pérez Córdova

Shifting the Silence présente les œuvres de trente-deux femmes artistes qui utilisent le langage radical de l’abstraction pour améliorer notre compréhension du monde. Son titre, issu du livre de 2020 de l’artiste Etel Adnan sur l’histoire et l’existence, Shifting the Silence embrasse l’expérimentation, l’impermanence et la subjectivité – des caractéristiques audacieuses mais poétiques qui marquent l’art de notre époque.

Avec des œuvres récemment acquises de Firelei Báez, Nairy Baghramian, Liz Hernández, Cinthia Marcelle, Tania Pérez Córdova, Lorna Simpson et Haegue Yang, l’exposition exploite leur énergie à la fois provocante et éclairée pour explorer la culture visuelle, les motivations de ses praticiens et ses diverses influences. Cette exposition expérimentale d’œuvres produites au cours du dernier quart de siècle comprend des sculptures, des photographies, des textiles, des vidéos, des peintures et des installations temporelles.

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Caroline Achaintre, MissTique, 2019, Laine tuftée à la main / Hand tufted wool, 220 × 167 cm. Photo by ​​Laetizia Debain. Courtesy of the artist and Art : Concept, Paris

Après un premier volet au Kunstmuseum de Ravensburg (Allemagne), l’exposition Shiftings se déplace en Suisse.

Cette exposition “donne un aperçu de l’œuvre mémorable de l’artiste franco-allemande. Caroline Achaintre transpose dans le présent des techniques traditionnelles telles que la tapisserie, la céramique et l’aquarelle, explorant les frontières entre l’abstraction et la représentation.”

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De la symbolique des fleurs au Moyen-Âge aux problématiques actuelles sur le bien-être et la préservation de la planète, le jardin a toujours fasciné les artistes qui ont souhaité inscrire les sensations que leur inspirait le jardin dans l’Art.

Une quarantaine d’artistes de notre temps dévoilent leur vision dans l’exposition « Le jardin, miroir du monde ». Une invitation à ressentir le pouvoir apaisant des thèmes liés à l’art du jardin, et les écosystèmes propres aux jardins et à préserver, l’inter-pollinisation entre les mouvements environnementaux et le travail terre à terre du jardinier.

Depuis 2019, Julien Audebert pratique la peinture et réalise une série de petits formats à l’huile sur cuivre. Sa plus récente série, Obsidionales, consiste en des peintures à l’huile de petit format sur cuivre. Ces « fleurs de la guerre » exogènes, déplacées par les semelles des soldats, le rail ou les chevaux, sont peintes, centrées au milieu du cadre, comme un enfant le ferait, réalisées alla prima (technique qu’impose l’adhérence sur le cuivre). Ces œuvres mettent en tension de de véritables conflagrations entre le sujet et un soubassement historique souvent invisible.

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Vidya Gastaldon, Healing object (cubistery n°1), 2019. Peinture acrylique et verni sur objet trouvé 50 × 50 × 50 cm (19 ⅝ × 19 ⅝ × 19 ⅝ inches). Courtesy of the artist and Art : Concept, Paris

Cette libre interprétation de l’ésotérisme s’est conçue autour d’un dialogue des étudiant.es de la Haute Ecole des arts du Rhin avec vingt pièces d’artistes contemporains, dans un jeu de regards croisés intergénérationnel, où vidéos et photographies, dessins et installations, sculptures et performances transfigurent l’espace de la Chaufferie.

Commissariat Julien Bécourt, journaliste et critique d’art, sur une invitation du groupe No Name.

Jeremy Deller, Rythmasspoetry (en collaboration avec Cecilia Bengolea), 2015. Vidéo HD. 6 min 29 sec. Edition of 3 plus II AP. Courtesy of the artists and Art : Concept, Paris

Jeremy Deller et Cecilia Bengolea ont parcouru ensemble l’agglomération de Lyon. Quand les artistes rencontrent Denis Trouxe, ancien adjoint au maire, chargé de la culture et du patrimoine à la ville de Lyon, Cecilia Bengolea écrit avec lui un rap aux paroles à la fois ironiques et volontairement caricaturales, que Denis Trouxe accepte d’interpréter dans sa villa cossue de Champagne-au-Mont-d’Or (une banlieue prospère de l’ouest lyonnais) —accompagné par Domy Caramel, Latys Shye et Sarah, trois danseuses de dancehall originaires de Vaulx-en-Velin, à l’est de la métropole. Ce qui donne un vidéoclip étrange qui relie, pour quelques instants, deux parties d’une même zone urbaine qui ont peu l’occasion de se rencontrer.

Plus d’informations à propos du CLUB SANDWICH VIDEOS

Miryam Haddad participe à l’exposition We Paint! au Palais des Études des Beaux-Arts de Paris.

L’exposition organisée par la Fondation Bredin Prat aborde l’effervescence de la peinture dans l’art contemporain au travers des 33 artistes français et étrangers sélectionnés ces dix dernières années par le Prix Jean-François Prat.

L’exposition collective organisée par la Fondation Bredin Prat présente plusieurs toiles récentes de Miryam Haddad, lauréate du Prix Jean-François Prat en 2019.

Commissariat et scénographie Cristiano Raimondi
Palais des Beaux-Arts – 14 rue Bonaparte, 75006 Paris
24 mars – 24 avril