Mois : octobre 2021

L’exposition est le deuxième chapitre de la Trilogie de la matière, un projet d’exposition à long terme commencé en 2018. Il implique des historiens de l’art, des conservateurs, des philosophes et des scientifiques et propose un débat transversal autour du thème de la matière. L’exposition occupera tous les espaces de la Galerie d’Art moderne et Contemporain de Bergame dans un parcours à fort impact sensoriel.

GAMeC
Via San Tomaso, 53, 24121 Bergamo BG, Italie

L’exposition Les Flammes. L’Age de la céramique propose une immersion dans le médium de la céramique et associe plus de 350 pièces allant du néolithique jusqu’à nos jours, créant un dialogue inédit et fécond entre des typologies d’objets issus d’époques et de contextes variés, cherchant à déceler les influences autant que les coïncidences.

Musée d’art moderne de Paris
11 Av. du Président Wilson, 75116 Paris

Entremêlant recherches sur les textiles anciens, œuvres d’art contemporaines et documents d’archives, l’exposition retrace la vie, l’œuvre et la vision de l’industriel et mécène Antonio Ratti, l’un des grands entrepreneurs qui, avec sa société Ratti SpA, a redynamisé l’Italie industrielle.

Commissariat Lorenzo Benedetti, Annie Ratti et Maddalena Terragni

Fondation Antonio Ratti
Villa Sucota
via per Cernobbio 19, 22100 Como – Italy

Pour son projet Cosmos, l’artiste a voyagé en Europe, et notamment dans les pays de l’ex-URSS, à la recherche des hôtels Cosmos. Construits entre les années 60 et 80, ces édifices témoignent du style moderne ou post-moderne. L’artiste évacue tout repère spatial et chronologique enregistrant les détails de l’architecture et de la nature situés à proximité des hôtels. Il travaille avec une seule couleur, le gris, afin d’annuler les effets séduisants de l’image.’

Les rencontres inattendues
Le Fonds d’art contemporain – Paris Collections

Zoom sur … Caroline Achaintre
Entre froissé et lisse, moelleux et dur, souple et rigide, opaque ou ajouré, les formes en cuir façonnées par Caroline Achaintre rappellent des coquilles, des ailes, des totems et autres formes organiques. C’est le poids qui crée le volume, la découpe qui laisse émerger le relief. Tels des accessoires dont on pourrait s’emparer, s’habiller, ces objets évoquent à la fois des vêtements de mode, des masques primitifs ou des peaux, à taille humaine. Jouant avec l’endroit et l’envers, le noir et la couleur, la dépouille prend sous les doigts de l’artiste les lueurs et couleurs de la vie.

Exposition à la Maison des Métiers du Cuir de Graulhet
33 rue Saint-Jean – 81300 Graulhet