Kate Newby, Do it tired, 2023. Fonte. Loading dock. 14 x 24 x 2 in. (9 pieces)
Courtesy of the artist and Laurel Gitlen. Photo: Jen Bootwala/Cynthia Woods Mitchell Center for the Arts

Exposition collective.

Intimate confession is a project est une exposition collective qui aborde la transmission, la vie intergénérationnelle et l’héritage culturel à travers le prisme de l’intimité et de l’infrastructure. À travers le travail de onze artistes couvrant plusieurs générations et géographies, l’exposition envisage l’infrastructure comme une cellule de détention intime, capable d’un pouvoir affectif et affirmatif.

Ces dernières années, une vague d’études sur les environnements bâtis et non bâtis a vu le jour, mettant en contraste « les humains, les choses, les mots et les non-humains dans des conjonctures structurées », pour citer la théoricienne féministe Michelle Murphy. Cette exposition examine comment les infrastructures peuvent être comprises comme « affectives » dans leurs diverses expressions de mouvement et leur empreinte sur la vie culturelle.

Curatrice: Jennifer Teets

Plus d’informations

Vue d’exposition / Installation view: Our Ecology: Toward a Planetary Living, Mori Art Museum, Tokyo/JP.
Kate Newby, FIRE!!!!!!!, 2023. Terrazzo produced at Torii Cement Kougyou Co., Ltd., Toyama (Concrete and found materials in Tokyo: stone, ceramics, glaze, glass, rubber, plastic, enamel, cork, metal, rope, concrete, shell, and bitumen), Indigo Fabric produced at Kosoen, Ome (Organic Cotton, indigo dye). Dimension variable. Co-production: Fondation d’entreprise Hermès and Mori Art Museum Photography: Go Itami

Exposition collective.

Our Ecology présentera quatre chapitres d’expressions diverses grâce à une impressionnante sélection d’artistes internationaux, allant d’œuvres historiques à un certain nombre d’œuvres commandées spécialement pour l’exposition.

Avant tout, le titre Our Ecology : Toward a Planetary Living pose la question de savoir qui nous sommes et à qui appartient la Terre. L’exposition nous incite à réfléchir aux problèmes environnementaux et à d’autres questions non seulement d’un point de vue anthropocentrique, mais aussi en considérant les multiples écologies de la Terre d’un point de vue plus large et plus complet. Cette exposition durable, conçue pour réduire au minimum l’utilisation des transports en réutilisant et en recyclant autant de ressources que possible, fera du Mori Art Museum un lieu où l’on pourra contempler la manière dont l’art contemporain et les artistes ont jusqu’à présent abordé les questions environnementales, et comment ils pourront continuer à le faire à l’avenir.

Plus d’informations

16-21 Oct. 23
10:00 – 18:00 hr
23 rue Vaneau
Paris 75007

Plus d’informations

Exposition collective.

Pour les 40 ans des Frac, il s’agit à la fois de repenser l’histoire de l’institution, écrite notamment par le biais de sa collection, et de tendre vers des futurs communs et désirables.

L’exposition Gunaikeîon invite plusieurs commissaires à écrire leur propre récit à partir des œuvres de la collection et dans la rencontre avec d’autres œuvres invitées. Traditionnellement, le gunaikeîon était l’appartement, dans les maisons grecques et romaines, où les femmes passaient la plupart de leur temps et qui se situait à l’écart, afin qu’elles n’aient aucun contact direct avec la rue. Avec cette exposition, il s’agit au contraire d’ouvrir les espaces des Réserves du Frac et de la Chaufferie de la Fondation Fiminco aux quartiers alentours et aux bruits du monde. L’exposition se déploiera en plusieurs chapitres où chacune des commissaires proposera une actualisation de la collection à l’aune de ses obsessions respectives, ancrées dans la société contemporaine.

Commissaires : Jade Barget, Daisy Lambert, Camille Martin, Céline Poulin & Elsa Vettier

Plus d’informations

Richard Fauguet, Sans titre, 1995. Objets en verre, plaques de verre et colle silicone / Glass objects, glass plates and silicone glue. Collection Frac Nouvelle-Aquitaine Méca. Vue de l’exposition / Installation view « Parler avec elles » conçue par Emilie Parendeau – exposition anniversaire 40 ans du Frac MÉCA. Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, Bordeaux. Crédit photo : Grégoire Grange

Durant l’automne-hiver 2023-2024, le Frac MÉCA accueille « Parler avec elles », une exposition conçue par l’artiste Émilie Parendeau qui réunit une cinquantaine d’œuvres, dont une quarantaine provenant de la collection du Frac, un ensemble de peintures de Claude Rutault, en même temps qu’elle accueille des propositions créées spécifiquement pour l’occasion par Florence Jung, Delphine Reist, et Davide-Christelle Sanvee.

Exposition anniversaire – 40 ans des Frac

Avec des œuvres : ABSALON, John M.ARMLEDER, Pierre BARÈS, Karina BISCH, Jean-Marie BLANCHET, Pauline BOUDRY / Renate LORENZ, Yves CHAUDOUËT, Stéphanie CHERPIN, Claude CLOSKY, Stéphane DAFFLON, Richard FAUGUET, Dominique GHESQUIÈRE, John GIORNO, Alexander GUTKE, Louise HERVÉ & Clovis MAILLET, Joël HUBAUT, IFP, Florence JUNG, Imi KNOEBEL, Jeff KOONS, Pierre LABAT, Quentin LEFRANC, Richard LONG, Nicolas MILHÉ, Adrien MISSIKA, Joachim MOGARRA, Roman OPALKA, Serge PROVOST, Delphine REIST, Claude RUTAULT, Davide-Christelle SANVEE, Reena SPAULINGS, Haim STEINBACH, Didier VERMEIREN, Heimo ZOBERNIG.

Plus d’informations

Retour sur 20 ans de travail au travers d’une exposition introspective (plutôt que rétrospective) mélangeant peintures récentes, photographies, installations, mais aussi de la musique et des œuvres d’ami·es, qui concourent toutes à former le portrait de l’artiste, mais aussi celui d’une époque.

Avec les œuvres de Ismaïl Bahri, Louidgi Beltrame, Davide Bertocchi, Loïc Blairon, Jean-Luc Blanc, Lilian Bourgeat, Julien Carreyn, Nina Childress, Isabelle Cornaro, Monique Deregibus, Adélaïde Feriot, Mark Geffriaud, Guillaume Janot, Pierre Joseph, Shawn Lee, Géraldine Longueville, Didier Marcel, Laurent Millet, Laurent Montaron, Ange Petit, Jean-Marie Perdrix, Loïc Raguénès, Clément Rodzielski, Sarah Tritz, Pierre Vadi, Xavier Veilhan…

Plus d’informations

Jean-Michel Sanejouand, Sans Titre 06.2011, 2011. (Espaces & Cie). Acrylique sur papier / Acrylic on paper. 30,5 × 45 cm. Courtesy the Artist Estate and Art : Concept, Paris.

Compagnes de nos rêveries, les pierres, plus anciennes que la vie, ont exercé sur les humains une fascination dont chacun de nous partage l’expérience : une collecte, un lancé, une contemplation admirative. Les poètes et artistes de toutes les périodes de l’art ont témoigné des profondes inflexions que ces présences silencieuses ont eu sur leurs créations.

Le grand écrivain surréaliste Roger Caillois, dont quelques exemples remarquables de sa collection de minéraux constituent le prologue de cette exposition, a su ainsi décrire cette relation insistante : « Plus d’une fois, il m’est arrivé de penser qu’il convenait de regarder les pierres comme des sortes de poèmes. »

Accompagnée par la prose de l’écrivain, l’exposition est le roman de cette fréquentation continue qui révèle à quel point ces minéraux occupent une position décisive entre le caprice de la nature et l’œuvre d’art.

L’exposition Histoires de pierres présentée à la Villa Médicis a bénéficié des prêts de plus de 70 institutions et rassemble près de 200 œuvres, du plus ancien minéral terrestre datant de 4,4 milliards d’années jusqu’au tout dernier minéral créé, la Sentimentite, par l’artiste contemporaine Agnieszka Kurant. Le parcours se déploie en dix salles d’exposition et se poursuit dans la citerne antique de la Villa Médicis, dans les appartements du Cardinal Ferdinand de Médicis et dans l’atelier Balthus.

Commissaires de l’exposition : Jean de Loisy & Sam Stourdzé

Plus d’informations

Exposition collective

La convulsive programmation développée par les équipes du Centre Wallonie-Bruxelles/Paris ré-amarre au sein de son vaisseau rendu à sa primale édification et dépouillé de tout ornement avec du 13 au 29 octobre le volet 2 des Heures Sauvages-Nef des Marges dans l’ombre des certitudes, programmation archipélique, initiée à la faveur du désamarrage qui constitue le climax des chantiers engagés par le Centre et un condensé d’initiatives développées comme les cycles dédiés aux films d’artistes 25 Arts Seconde, le festival de sondes sonores (((INTERFERENCE_S))), les plateaux de pensées contemporaines Belgian Theory ou encore le festival dédié aux courts-métrages : le Court en dit Long.

Nos programmations s’y réancrent avec l’aspiration à la non-canonisation, avec la même volonté de ne pas s’y retrancher, s’y cristalliser et s’y cantonner et en parallèle de la poursuite d’une viralisation dans des ailleurs physiques et en Cyberespace. Elles s’y réinfiltrent contaminées par de nombreuses alliances et par une même quête de mise en évidence et de sonde d’univers puissants qui donnent à considérer l’art comme une véritable heuristique de notre présent liquide.

Plus d’informations

Dans le modernisme depuis le XIXe siècle et dans les avant-gardes classiques du début du XXe siècle, une dialectique très spécifique est à l’œuvre : d’une part, il y a des innovations audacieuses, une négation radicale et des dogmes esthétiques ; d’autre part, il y a une certaine forme de rire qui constitue la base de ce projet d’exposition. Il s’agit d’un rire qui s’amuse et qui, en même temps, sans vouloir scandaliser, sape tout conservatisme, toute bigoterie, toute morale et, surtout, tout dogmatisme d’avant-garde.

Cette exposition flirte avec l’humour du désastre, du mauvais goût, de l’approche camp, de la culture trash, de la science-fiction, de l’horreur et du porno, du bricolage du punk, de l’art dit « outsider », de l’immaturité, de l’idiotie, de l’intuition et, bien sûr, de la passion et de l’enthousiasme.

Plus d’informations

Exposition collective.

Les œuvres des artistes participants abordent toutes, directement ou indirectement, les thèmes de la maison, de la domesticité et de la vie de famille, avec toutes leurs implications heureuses (et délicates). Le titre de l’exposition, Home Is Where You’re Happy, est d’ailleurs emprunté à une chanson écrite par Charles Manson, dont la maison d’enfance était loin d’être heureuse et qui a fini par fonder sa propre « famille » meurtrière. Liées thématiquement par une série de dialogues, les œuvres d’art deviennent des représentants de tous les processus psychodynamiques, des fantasmes et des souvenirs qui hantent encore la Haus Mödrath.

Plus d’informations