Nous avons le plaisir d’annoncer la seconde exposition personnelle de Giuseppe Gabellone à la galerie.

Tania Pérez Córdova, Tu, yo, nosotrxs, ustedes, ellxs (You, Me, Us, You, Them), 2022, detail. Marble, personalized cosmetic contact lenses, one or more people wearing contact lenses of a color different from their natural eyes. 0.8 x 21.7 x 13.8 inches (2 x 55 x 35 cm). Commissioned by Museo Tamayo, Mexico City. Courtesy the artist. Photo: Gerardo Landa y Eduardo López (GLR Estudio)

Generalization est la première exposition de l’artiste Tania Pérez Córdova (née en 1979 à Mexico) dans une institution américaine. Elle présente une sélection de vingt-quatre œuvres réalisées au cours des dix dernières années, ainsi que des pièces spécialement commandées pour l’occasion.

L’exposition propose une lecture de l’œuvre de Pérez Córdova à travers les questions que son travail artistique a cherché à aborder : le passage du temps, la nature des matériaux, le regard de l’autre, l’imminence ou la possibilité d’une action, la manière dont nous attribuons de la valeur aux objets, l’espace négatif et, plus récemment, l’insuffisance du discours.

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Vidya Gastaldon, Teapot, salad, poltergeist, 2012. Acrylique et huile sur toile / Acrylic and oil on canvas. 60 × 70 cm. Courtesy the Artist ; Wilde, Genève and Art : Concept, Paris.

Exposition collective.

Houses of Tove Jansson est la plus grande exposition en Europe centrale et en France à explorer la vaste vie et la carrière de l’artiste. Cette exposition, la première du genre, offre un nouveau regard sur l’héritage de l’artiste à travers les yeux d’un groupe diversifié d’artistes contemporains. Elle présente également des œuvres et des documents éphémères qui n’ont jamais été exposés publiquement auparavant.

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Ulla von Brandenburg, Le milieu est bleu, 2020.
Super 16 mm film transferred to HD video, color, sound, 23’43”
Courtesy of the artist and Art : Concept (Paris); Meyer Riegger (Berlin/Karlsruhe/Basel); Pilar Corrias Gallery (London); Produzentengalerie (Hamburg)
In partnership with the Palais de Tokyo, Paris, le Théâtre du Peuple, Bussang, the CND Centre National de la Danse, Pantin and the Opéra National de Paris. Full credits.

Dans le but de « créer et organiser une manifestation d’art contemporain d’envergure internationale, où le son – sous toutes ses formes – constitue le cœur de l’événement », cette biennale réunit des installations sonores et des œuvres silencieuses dans lesquelles le son est induit, ainsi qu’une série d’événements (performances sonores, concerts, discussions publiques, etc.) à travers différents lieux, villes et villages (Sion, Martigny, Loèche, Sierre…). La biennale de l’art contemporain de Sion est une manifestation d’art contemporain d’envergure internationale, où le son – sous toutes ses formes – constitue le cœur de l’événement.

Dans le cadre de l’exposition Echos d’une collection. Œuvres du Frac Franche-Comté (commissariat assuré par Sylvie Zavatta, directrice du Frac, en collaboration avec Christophe Fellay, artiste et enseignant à l’EDHEA, Jean-Paul Felley, directeur de l’EDHEA) du 16 septembre au 29 octobre 2023 à Martigny (Suisse) seront présentées les œuvres suivantes d’Ulla von Brandenburg : The Record (2005-2014) et Le milieu est bleu (2020), qui font partie de la Collection du Frac Franche-Comté.


Dans le cadre de l’exposition Échos d’une collection.

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Ulla von Brandenburg, It Has A Golden Sun and An Elderly Grey Moon, 2016, super 16 mm, couleur, son, 22:25 min., danseurs : Duncan Evennou, Hélène Iratchet, Christophe Ives, Viviana Moin, Giuseppe Molino, Benoît Réssilot, Pauline Simon, photos © Martin Argyroglo, Courtesy the Artist, Art:Concept, Pilar Corrias Gallery, Meyer Riegger, Producers Gallery Hamburg

Le titre de l’exposition « It Has a Golden Sun and an Elderly Grey Moon » fait référence à une œuvre de 2016 d’Ulla von Brandenburg (1974, vit et travaille à Paris et à Karlsruhe), qui est au centre de l’exposition. Dans la présentation expansive, dans laquelle le film, la performance, l’architecture et l’installation sont combinés, le spectateur pénètre dans un monde entre réalité et illusion, passé et présent. 

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Jean-Luc Blanc, Sans titre (écrire à table avec enfant Alien), 2018. Crayon sur papier / Pencil on paper. 29,7 x 21 cm. Courtesy the Artist and Art : Concept, Paris.
Kirchgasse Gallery, Didactic Poetry, Installation View, 2023 / Photo: Cedric Mussano / Courtesy: The artist and Kirchgasse Gallery

Avec Virgina Ariu, Jean-Luc Blanc, Andrea Celeste La Forgia & Max Fletcher, Costanza Candeloro, Thomas Hesse, Elza Javakhishvili, Peter Kamm, Sarah Lehnerer, Birgit Megerle, Angelbert Metoyer, Mathis Pfäffli, Matthias Sohr, Megan Francis Sullivan, Anna Zacharoff

1er verset : L’ouverture de la galerie
2ème couplet : L’exposé en salle de classe
3ème couplet : La visite du studio
4ème couplet : Le dîner au salon

L’exposition Didactic Poetry rassemble des œuvres en papier disposées en petits groupes par 15 artistes. Leur narration prend forme à l’intersection de la didactique et de la poésie. Dans leurs pratiques, les artistes poursuivent et démontrent une critique relationnelle, une sensibilité précise et une notion fine de cette dynamique chargée. Les œuvres reflètent différents concepts et compréhensions de la pédagogie, du travail, de la poésie et de la galerie.

Dans la dynamique de la didactique et de la poésie, il existe des apories qui génèrent des potentiels discursifs et sociaux. Le genre ancien de la poésie didactique (en allemand : Lehrgedicht) est associé à un haut degré d’autoréflexion métapoétique. L’exposition pose la question de savoir dans quelle mesure le potentiel didactique inhérent aux œuvres permet de comprendre les intentions poétiques des artistes et celles des œuvres elles-mêmes.

Les différents contextes mettent en évidence les conditions dans lesquelles différents modes d’engagement ont lieu, ce qui permet de modifier le statut des œuvres et les rôles des acteurs impliqués. Dans ce contexte, les conceptualisations, les positions et les conditions des œuvres d’art sont examinées, dans la mesure où elles sont capables de générer leurs propres discours, mais sont également disponibles en tant qu’outils pédagogiques appliqués.

La question de savoir comment une galerie peut contribuer à des projets éducatifs impliquant des pratiques pédagogiques, un engagement social et un enrichissement intellectuel sera juxtaposée et intégrée à l’éventail habituel des tâches de la galerie le 1er juillet. Nous vous invitons chaleureusement.

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Threads exhibition at Arnolfini. Image by Lisa Whiting Photography for Arnolfini. All rights reserved.

Arnolfini vous invite à découvrir Threads, une grande exposition présentant 21 artistes et créateurs internationaux contemporains qui utilisent le textile comme médium de prédilection. Célébrant la matière et la fabrication, ces artistes utilisent le pouvoir de narration des textiles pour renouer avec les traditions passées, trouver des points communs entre les cultures, les époques et les lieux, et « insuffler des histoires dans les matériaux ». Co-commandée par Alice Kettle, artiste textile de premier plan, l’exposition Threads se déploie sur les trois étages d’Arnolfini pour révéler comment les textiles « se souviennent », comment la mémoire est « intégrée dans le processus de fabrication » et comment de nouveaux récits sont créés.

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C’est autour d’un échange d’œuvres que Denis Savary et Pierre-Olivier Arnaud ouvrent une relation et une discussion. Celles-ci se poursuivent lors de l’exposition Ballard in Albisola organisée fin 2021 par le MAMCO dans la maison de l’artiste Asger Jorn en Italie. Les artistes y réalisent une œuvre en commun, une sorte de collage prenant quasiment la forme d’une sculpture pour plate-bande, en rassemblant des objets trouvés sur le site de l’exposition. Soit la rencontre d’un vase visqueux de couleur verre « Heineken », d’une guirlande de fanions gris dégradé, de carreaux de faïence noir et brun, d’un piètement de fauteuil et d’une concrétion calcaire comme origine à un projet entier d’exposition quelques temps plus tard. […]

Dans la synagogue de Delme, Denis Savary et Pierre-Olivier Arnaud invitent les visiteur·euse·s à Josy’s Club, un espace plongé dans la pénombre, devenant le réceptacle de ces trouvailles extraites de ces multiples dérives et constituant une véritable réappropriation de l’espace urbain par l’imaginaire. Inspirée par les œuvres de J.G. Ballard telles que la Trilogie de béton ou encore Sécheresse, l’exposition se dévoile tel un jardin sec, dont chaque élément sculptural ou pictural serait le symptôme de ces espaces troublés. Ce paysage sec et terne reflète les variantes périphériques d’une pensée moderne planifiée, mais dans un esprit bien vivant, car il ne s’agit pas de parler de fantômes, ni de ruines ici. Les artistes mettent en avant une tendance vernaculaire bien vivace et proliférante en ce début de XXIème siècle. Sans verser dans la nostalgie, ni dans un certain fétichisme pour le modernisme, ce projet s’intéresse à sa déformation et à sa survivance dans l’époque actuelle, à son état de décrépitude avancé dont il n’existe pas d’alternative capable de le remplacer dans ce monde vivant à la fois dans un présent éternel et cultivant un certain appétit pour le rétro-futurisme. Les artistes s’intéressent à son déploiement esthétique dans l’espace urbain à partir de ce que les gens en font et créent à partir d’une base floue, dans des gestes a priori non artistique, de l’ordre du bricolage, mais contribuant à modifier et à faire évoluer les formes et l’esthétique de la ville.

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