Art : Concept is pleased to present a series of recent paintings by Tommy Malekoff.

Tommy Malekoff is an American artist, born 1992 in South Boston, Virginia. He lives and works in New York, NY. His work with video and photography deals with insular worlds and displaced phenomenons in the American landscape.

His work has been exhibited at New Canons and Jeffrey Stark in New York/US, Morán Morán Gallery in Los Angeles/US, 44 Michigan Avenue in Detroit/US and galleria ZERO in Milan/IT.

Art : Concept a le plaisir de présenter une série de peintures récentes de Tommy Malekoff.

Tommy Malekoff est un artiste américain né en 1992 à Boston, aux Etats-Unis. Il vit et travaille à New York. Son travail vidéo et photographique aborde les sujets des mondes insulaires et des phénomènes de déplacement dans le paysage américain.

Son travail a notamment été exposé à New Canons et Jeffrey Stark à New York/US), la galerie Morán Morán à Los Angeles/US, à 44 Michigan Avenue à Detroit/US et à la galleria ZERO à Milan/IT.

Biographie

Nina Childress, née en 1961 à Pasadena (Californie, Etats-Unis) a grandi à Paris, où elle vit et travaille aujourd’hui.

Issue de la scène punk alternative parisienne puis du collectif les Frères Ripoulin, Nina Childress n’a cessé de peindre depuis 1983. Son travail gagne en visibilité en 2009 lorsque Christian Bernard lui propose une retrospective au Musée d’Art moderne et contemporain de Genève (MAMCO) où il occupe le poste de directeur, suivie d’une autre exposition personnelle deux ans plus tard. 

Après son Master en arts plastiques, Nina Childress poursuit ses recherches en peignant simultanément dans des styles différents. Offrant une revisite grinçante de l’histoire du portrait dans la culture populaire occidentale, sa peinture capte de plus en plus les clichés de représentations féminines. Pour certains tableaux, elle réalise plusieurs versions, entre perfectionnisme et caricature, entre good et bad painting, questionnant la notion de « bon goût ». En 2019-2020, Nina Childress commence à peindre avec des pigments phosphorescents. Aujourd’hui, ses sujets se centrent davantage sur des portraits d’idoles féminines glamour du cinéma et de la chanson populaire, comme Sylvie Vartan, Kate Bush ou encore Hedy Lamarr. En 2020, Hedy Lamarr est également le modèle de sa première statue en bronze, réalisée grâce à la bourse de la Fondation des Artistes.

Récemment, son travail a été montré dans de nombreuses institutions le Musée National d’Art Moderne – Centre Pompidou, Paris et le Centre Pompidou Metz (2023/2024); le FRAC Ile-de-France, Romainville (2023); La Cinémathèque française, Paris et le MAC VAL, Vitry-sur-Seine (2022); MAMCO, Genève (2021); le Musée d’Art Moderne de Paris (2020). Une exposition personnelle d’ampleur lui a été consacrée à La-Chaux-de-Fond (Suisse) en 2022. En 2021, Nina Childress est nommée Chevalier de la Légion d’Honneur pour son parcours au service de la culture. Une grande rétrospective lui a été dédiée au FRAC Nouvelle-Aquitaine MÉCA, Bordeaux, en décembre 2021. À cette occasion, son catalogue raisonné, depuis son premier tableau peint en 1980 jusqu’à ceux de 2020, est publié accompagné d’une autobiographie écrite par Fabienne Radi. Depuis 2019, elle est cheffe d’atelier à l’École des Beaux-Arts de Paris.

Son travail est représentée par la galerie Nathalie Karg à New York et par la Galerie Art : Concept à Paris depuis 2022.

Ses œuvres figurent dans les collections du Musée National d’Art Moderne à Paris, du MAMCO à Genève, du Mac-Val à Vitry-sur-Seine, du Fond municipal d’art contemporain de la ville de Paris et de nombreux Frac.

A la galerie

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Catalogues

Biography

Nina Childress is a painter born in 1961 in Pasadena (California, USA). She lives and works in Paris.

Coming from the alternative punk scene and then the Frères Ripoulin (Ripoulin Brothers) collective, she has been painting since 1983. While obtaining a Master of Fine Arts in 2006, she decided to pursue her research by painting simultaneously in different styles. Offering a gritty revisiting of the history of portraiture in Western popular culture, her paintings increasingly captured the stereotypes of female representation. For some paintings, she creates several versions, oscillating between perfectionism and “badly done”, between realism and caricatures: between “Good” and “Bad”. In 2019-2020, Nina Childress started to paint with phosphorescent pigments. Today, her subjects focus more on portraits of glamorous female idols from the world of cinema and popular music, such as Sylvie Vartan, Kate Bush and Hedy Lamarr. In 2020, Hedy Lamarr is also the model for her first bronze statue.

Recently, her work has been shown in several institutions such as Musée National d’Art Moderne – Centre Pompidou, Paris and Centre Pompidou Metz (2023/2024); FRAC Ile-de-France, Romainville (2023); La Cinémathèque française, Paris and MAC VAL, Vitry-sur-Seine (2022); MAMCO, Geneva (2021); Musée d’Art Moderne de Paris (2020). The Musée des Beaux-Arts de La-Chaux-de-Fond devoted a major exhibition to her work in 2022. In 2021, Nina Childress was named Chevalier de la Légion d’Honneur in France for her service to culture. A major retrospective has been dedicated to her in December 2021 in Bordeaux at the FRAC Nouvelle-Aquitaine MÉCA. On this occasion, her catalogue raisonné, from her first painting in 1980 to those of 2020, will be published along with an autobiography written by Fabienne Radi. Since 2019, she is Chairman at the École des Beaux-Arts in Paris.

Her work is represented by Nathalie Karg, New York and Art : Concept in Paris.

Her work is included in the collections of the Musée National d’Art Moderne, the Mamco in Geneva, the Mac-Val, the Fond Municipal d’Art Contemporain de la Ville de Paris and numerous Frac.

At the gallery

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Catalogues

Healing Painting (Chasse aux esprits), 2015. Huile sur tableau trouvé / Oil on vintage painting. 32,5 × 40,5 cm (12 ¾ × 16 inches). Courtesy the artist and Art : Concept, Paris. Photo Claire Dorn

Figures de soin depuis l’époque médiévale, malades et maladies, toucher et être touché, l’infiniment petit… Passionnants thèmes évoqués par cette exposition aussi transversale que philosophique.

Plus d’informations

Healing Painting (Chasse aux esprits), 2015. Huile sur tableau trouvé / Oil on vintage painting. 32,5 × 40,5 cm (12 ¾ × 16 inches). Courtesy the artist and Art : Concept, Paris. Photo Claire Dorn

Figures of care since medieval times, patients and diseases, touching and being touched, the infinitely small… Fascinating themes evoked by this exhibition as transversal as it is philosophical.

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Hubert Duprat, Volos, 2013. Lame de hache, pain d’argile, plastique / Axehead, raw clay, plastic approx.: 56 × 20 cm (22 × 7 ⅞ inches). Edition of 5. Courtesy the artist and Art : Concept, Paris. Photo Rebecca Fanuele

The work can be quickly described as follows: it is an ordinary loaf of clay, still in its original packaging, placed vertically, into which a polished axe made of dark stone dating from the Neolithic period is stuck. How could sculpture be simpler? In this respect, it seems very singular in Hubert Duprat’s body of work, but it nevertheless echoes the artist’s other creations, notably by the extent of its historical charge.

The loaf of earthenware is as it is found in the shops, Duprat having not taken the trouble to remove it from its protective covering. In this way, the container and the content make it a ready-made of a particular kind, comprising from the outset the promises of nature and artifice. While affirming its literalness, it presents itself as a raw material promised to some unknown future form. On the formal level, the parallelepiped under which the commercial clay is presented is of an already undone geometry. The thin plastic film ensures the preservation, albeit provisionally, of its humidity, of an “original” state. Once the skin is removed, the malleable material would enter an irreversible state, frozen in an irremediable sterility. Conceptually and materially, this object thus embodies the very idea of power as much as its opposite.

Futher information.

Hubert Duprat, Volos, 2013. Lame de hache, pain d’argile, plastique / Axehead, raw clay, plastic approx.: 56 × 20 cm (22 × 7 ⅞ inches). Edition of 5. Courtesy the artist and Art : Concept, Paris. Photo Rebecca Fanuele

L’œuvre peut se décrire rapidement ainsi : il s’agit d’un pain d’argile ordinaire, toujours dans son emballage d’origine, posé verticalement, dans lequel est fichée une hache polie en pierre sombre datant du néolithique. Comment faire sculpture plus simple ? Paraissant en cela très singulière dans le corpus de Hubert Duprat, elle fait cependant écho aux autres réalisations de l’artiste, notamment par l’ampleur de sa charge historique.
Le pain de terre est tel qu’on le trouve dans le commerce, Duprat n’ayant pas pris le soin de le sortir de son enveloppe protectrice. De la sorte, contenant et contenu en font un ready-made d’un genre particulier, comprenant d’emblée les promesses de la nature et de l’artifice. Tout en affirmant sa littéralité, celui-ci se présente comme une matière première promise on ne sait à quel devenir-forme. Sur le plan formel, le parallélépipède sous lequel est présentée l’argile du commerce est d’une géométrie déjà défaite. La fine pellicule de plastique lui assure la conservation, toute provisoire, de son humidité, d’un état « originel ». Une fois la peau ôtée, la matière malléable accèderait à un état irréversible, figée dans une stérilité irrémédiable. Sur les plans conceptuel et matériel, cet objet incarne donc l’idée même de puissance autant que son inverse.

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Caroline Achaintre, Shopper, 2012. Céramique, métal / Ceramic, metal, 43 x 31 x 39 cm. Collection Frac Champagne-Ardenne

The exhibition Des eaux artificielles suggests to mix crystal fish and naturalized mackerel, iridescent sculpture and shells with a pearly surface. Here, contemporary works of art rub shoulders with aquatic specimens. We are free to discover the showcases as we would observe aquariums evoking diversified microcosms.

How can we understand the opposition between inside and outside? What parallels exist between a closed universe such as the aquarium and the domestic space?

With specimens from the collection of the Muséum-Aquarium and works from the 3 FRAC du Grand Est by artists Caroline Achaintre, Ismaïl Bahri, Patty Chang, Edith Dekyndt, Marcel Dinahet, Lili Dujourie, Michel François, Élise Grenois, Josefa Ntjam, David Posth-Kohler, Capucine Vandebrouck and Chen Zhen. Based on a proposal by Carson Chan, Director of the Emilio Ambasz Institute for the Joint Study of the Built and Natural Environment at MoMa, New York.

Further information

Caroline Achaintre, Shopper, 2012. Céramique, métal / Ceramic, metal, 43 x 31 x 39 cm. Collection Frac Champagne-Ardenne

L’exposition Des eaux artificielles propose de mêler poissons de cristal et maquereaux naturalisés, sculpture iridescente et coquillages à la surface nacrée. Ici, les œuvres d’art contemporain côtoient les spécimens aquatiques. Libre à nous de découvrir les vitrines comme on observerait des aquariums évoquant des microcosmes diversifiés.

Comment comprendre l’opposition entre intérieur et extérieur ? Quels parallèles existe-t-il entre un univers clos tel que celui de l’aquarium et l’espace domestique ?

Avec des spécimens de la collection du Muséum-Aquarium et des oeuvres des 3 FRAC du Grand Est des artistes Caroline Achaintre, Ismaïl Bahri, Patty Chang, Edith Dekyndt, Marcel Dinahet, Lili Dujourie, Michel François, Élise Grenois, Josefa Ntjam, David Posth-Kohler, Capucine Vandebrouck et Chen Zhen. Sur une proposition de Carson Chan, directeur de l’institut Emilio Ambasz pour l’étude conjointe de l’environnement bâti et naturel au MoMa, New York.

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